claudine chollet - Page 9
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Enfance --> reprise...
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Interruption du passé pour zoom dans l'actu : hier au salon du Livre de Chateauroux !
J’exagère
pasà peine -
Programme du Café Littéraire de LANGEAIS (I&L)
« Le roman criminel » est le thème de la prochaine causerie au café littéraire de Langeais, ouvert à tous, le samedi 26 janvier 2008, à partir de 16 h 30 au Salon de thé du Château. La romancière Claudine Chollet, auteur de romans policiers, propose de répondre, non sans un brin d’humour, à la question suivante : peut-on revendiquer une AOC « romans criminels » dans le vaste champ des littératures ?
Dans cet exposé, elle présentera un panorama de la littérature criminelle depuis le premier opus du genre, paru en 1841 sous la plume d’Edgar Poe, jusqu’à nos jours.
Elle mettra en évidence l’influence du contexte politique et économique, tout au long du 20ème siècle, sur le genre policier qui se subdivise en trois sous-genres : le roman d’enquête, le polar et le thriller. Entre des héros aussi différents que James Bond ou Maigret, entre Hercule Poirot et les psychopathes de Patricia Cornwell, le point commun est certainement une certaine convention d’écriture qui a des règles strictes.
Longtemps considéré comme une sous-littérature, le roman dit « de gare » a trouvé aujourd’hui ses lecteurs, ses salons et ses collectionneurs. Pas moins de 25 sites internet lui sont consacrés.
Claudine Chollet terminera cette intervention en racontant son expérience d’auteur et en situant son œuvre dans l’évolution actuelle. Elle dédicacera des trois premiers tomes de la série « Polycarpe Houle » présentée en détail sur le site éditorial : www.editionstuttiquanti.com. -
Saga d'une bayboumeuse - enfance (suite)
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saga d'une babyboumeuse - enfance (suite)
Revenons aux verts paradis de l’enfance
(au moins les quatre premières années...)
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Saga d'une babyboumeuse - enfance (suite)
Blouse grises, encre violette, cartes de géographie, rideaux noirs et le poële...(Un poulailler dans la cour... un jardin... c'était pédagogique !) -
saga d'une babyboumeuse (suite)
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Saga d'une babyboumeuse (suite)
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saga d'une babyboumeuse (suite)
1950.
Ce qui existait à cette époque dans mon village et qui n'existe plus :
· Il y avait plein de gens dans les rues qui s'arrêtaient pour discuter et qui parlaient très fort, on les entendait de l'autre bout du village
· Et aussi des vieux assis sur des chaises devant les maisons qui parlaient en patois
· Des artisans et des commerçants : une mercerie, un sabotier, quatre cafés, une auberge, le fournil, une épicerie-quincaillerie, un maréchal-ferrant, etc.
· Presque pas de voiture mais le bruit des charrettes et des troupeaux de vaches ou de moutons qui passaient matin et soir
· Un abattoir et les enfants regardaient le boucher tuer les bêtes
· L'alambic de mon grand-père
· Des lavandières qui battaient le linge à la rivière… -
saga de la babyboumeuse (suite)
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Saga d'une babyboumeuse (suite)
Toujours plus fort !
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La vie lamentable d'une babyboumeuse ratée (suite)
Je sais, je sais !!! Comme je vous le disais... faudrait pas croire les gens !
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ma vie revue et corrigée en BD
en hommage à Chien, je ne sais plus son nom, mais il est dans mes yeux comme si c'était hier, on se parlait tous les deux, sur les marches de la porte d'entrée... -
Ma vie revue et corrigée en BD
Je suis née, il y a soixante ans.
Je vais vous raconter ma lamentable vie de babyboumeuse ratée.
c'est triste, c'est beau, c'est émouvant, vous allez pleurer! -
Un joli dimanche en Berry
Le temps était paradisiaque et les paysages délicieux... La traversée de la Brenne dans les brumes ensoleillées de l'automne, c'est fabuleux (photo)... mais, au salon du livre de Gargilesse, une organisation lamentable.
The flop total !
Quelques rares promeneurs égarés surpris de nous découvrir. Les plus aimables nous avouaient ne pas lire ou n'avoir pas le temps de lire, les autres longeaient les stand l'air profondément déçu (ou dégoûté). Libraires, bouquinistes et auteurs ont fait chou blanc.
Et pourtant, j'ai rencontré des personnes formidables et je reviens avec une invitation de l'organisateur du prochain Salon de Chateauroux.
Une libraire ambulante dont je reparlerai, Nadège Mulé, "Les chemins du livre" a pris mes livres pour les vendre au cours de ses tournées. Donc, bilan plutôt positif. -
"Les Sévignales"
En France, faites 200 km, et vous êtes ailleurs…
Aux confins de la Bretagne, de la Sarthe et de la Mayenne, vous découvrez un pays de rigueur et de labeur, c’est l’impression que j’en ai. Villages endormis aux foirails désaffectés, champs à perte de vue avec ici ou là quelques vaches tenaces, rivières paisibles, constructions historiques massives en pierres marron foncé avec des toits pointus en ardoises et… des églises énormes, mastoc, dominant les modestes habitations. L’autochtone paraît très sain de corps et d’esprit, sans doute est-il loyal et travailleur, mais peu empathique. On ne ressent pas la convivialité extravertie propre à nos régions vinicoles et viticoles, même si nous avons été bien accueillis. Ces manifestations permettent des rencontres enrichissantes. J’ai pu apprécier le talent et la sensibilité de Jean-Pierre Guéno (France-Inter) qui a fait une lecture de lettres authentiques et lu aussi des extraits de textes des lauréats. Et j’ai fait la connaissance d’une jeune femme (mon homonyme : Isabelle Chollet !) qui dirige une compagnie de théâtre à Toulouse, prête à tenter l’aventure de monter un de mes textes… j’adore ce genre de coïncidences.
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Les musées sont faits pour ça
Je crois que l'art rend heureux.
Vu hier au musée des Beaux-arts de Tours... plus quelques autres merveilles mais...
...suivez le lien ci-dessous, "le Grillon" vous en parle si bien... -
marketing et dessert
J’approvisionne les maisons de la presse-librairies des villes de mon département avec mes Polycarpe. Je veux ici, publiquement, exprimer ma sympathie à la grande majorité de ces commerçants pour les emplacements qu’ils dégagent sur leurs gondoles archipleines de best-sellers et des prix littéraires présumés de la rentrée, pour l’accueil enthousiaste qu’ils manifestent. Je trouve des personnes qui aiment vraiment les livres et qui souhaitent que ça bouge un peu.
Je remercie notamment les librairies-maisons de la presse d’Amboise, Azay-le-Rideau, Ballan-Miré, Chinon, Joué les Tours et Cultura. Tous envisagent à court ou moyen terme des actions de promotion d’auteurs en région. Dynamiques.
Je commence à avoir assez de recul pour tirer quelques leçons de marketing. Les commerçants qui, cet été, ont placé mes bouquins à la même enseigne que les titres médiatisés en ont vendus autant. Admettons que le temps pluvieux ait poussé les gens à lire… Ceux qui ont mis ma série à part mais de manière visible en ont bien vendus également. En revanche, le libraire qui range les Polycarpe en rayon n’en vend pas. Le produit est inconnu du grand public donc c’est logique. À Tours intramuros, on manque d’entrain, je ne sais pas pourquoi : les gaz d’échappement, l’effet de serre,l’egosystèmel’écosystème du microcosme ? Allez, je rigole !
Il y a le cas, unique, d’un commerçant qui refuse le dépôt. Explication vaseuse. Mais c’est peanuts ! On n’a pas que des fans. Et inversement, ma boulangère, emballée d’avoir une écrivaine comme cliente, expose mes Polycarpe dans ses rayonnages muraux en arrière-plan des grosses meringues… Gentil, non ?
À propos j’ai une recette de dessert glacé avec de la meringue… dégusté cet été avec des cousins qui la tenait (la recette d’amis bordelais). Il faut :
Une grosse meringue de boulanger, un sachet de pralines écrasées, un pot de crème fleurette.
Vous montez la crème en chantilly (5mn), vous concassez la meringue et vous mélanger le tout. Vous mettez au congélateur quelques heures. Et voilà : ça ressemble en plus léger à la glace nougat.
C’est gé-nial. -
www.http://laforetdeslivres.com
Dimanche, come one the wood of the books... I wait for you
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J'aurais pu le dire...
« De la foule à nous, aucun lien : tant pis pour la foule, tant pis pour nous surtout… Il faut, abstraction faite des choses et indépendamment de l’humanité qui nous renie, vivre pour sa vocation, monter dans sa tour d’ivoire, et là, comme une bayadère dans ses parfums, rester seuls dans nos rêves. »
(Extrait d’une lettre à Louise Colet, 1852 – Dans « Flaubert» de René Herval, La Bonne Presse, 1942)
(merci à Rony de m’avoir rappelé ces mots de Flaubert)
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Où sont les neiges d'antan ?
Le jour du Quatorze Juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En n'écoutant pas le clairon qui sonne.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde me montre du doigt
Sauf les manchots, ça va de soi.
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La vie sur le vif
"Ses doigts firent des gammes de désespoir stoïque"
"Grand spécialiste en surdité insolente"
"les deux rides de la richesse méprisante des narines aux commissures"
"rôdaillait seul, cardant tristement la laine de ses cheveux, Faune banlieusard"
"Les verres de ses lunettes étincelaient de malice"
"sa chaste gorge spongieuse det mollette"
"Le terrible attirail des faibles femmes invincibles"
etc.
"Belle du Seigneur" Albert Cohen
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Qui a dit...
"Les chiens, quels braves gens ! "
"des mouettes à l'oeil antisémite volaient en rond et criaient sottement."
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Signaux de fumée (cf l'indien ci-dessous)
L'amour, désir de brûler ou désir de durer.
Ah ! Hein ? -
On a marché sur la neige
Hier encore, j'étais là-bas, sur cette nappe de chantilly...C'était cool... Randos vers les snacks en altitude où on se grillait au soleil...
Beaucoup d'étrangers, y compris des islamistes (je me demande quelle nationalité) que j'ai vus débarquer dans l'immeuble avec leurs femmes voilées qu'on n'a pas revu ensuite, seuls les hommes (barbus) allaient skier...
Bonjour l'évolution ! Vive le moyen âge !
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Ils sont sortis ! tout beaux tout chauds...
" Les POLYCARPE sont à la littérature ce que TINTIN est à la BD"
Mickey Mouse
Garanti 100% pure jubilation -
Qu'en pensez-vous ?
De l'esquisse à la couverture...
bientôt sur votre table de chevet !
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profil n°1
Pendant qu'on y est, dans le bleu...mais celui-là est moche, c'est un bleu microsoft ! -
Klein n'a pas le copyright du bleu
C'est de ce chat dont tu parles ?
Faut que je refasse la photo, mais là tout de suite j'ai plus de piles.
Le bonheur c'est de pas savoir qu'on est bleu, tu as raison. -
Yves Klein - "Monochrome sans titre" 1960
Art ?