20 février 2008
Désolée, ça casse l'ambiance... saga d'une bayboumeuse, adolescence (suite)
20:40 Écrit par Claudine | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : bd, société, psy, tout et rien... | Facebook | | Imprimer | |
29 janvier 2008
saga d'une babyboumeuse - enfance
10:30 Écrit par Claudine | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : BD, littérature, psy, société | Facebook | | Imprimer | |
28 novembre 2007
Enfance --> reprise...
13:48 Écrit par Claudine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : BD, dessins, littérature, société, psy | Facebook | | Imprimer | |
24 janvier 2007
L'an neuf a déjà quelques rides...
La bourrasque a soufflé dans ma vie fin 2006 et elle n’a pas faibli…
D’abord les faits : une mère hospitalisée d’office, atteinte d’une « névrose psychotique » selon les psys HP et qui est devenue une sorte de réacteur à neutrons de haine, un père frappé par un cancer de l’estomac avec une tumeur grosse comme un œuf, parents qui avaient fêté en grandes pompes et en grande forme en août dernier leurs noces de diamant)
Mais les faits sont loin de rendre compte des rapports familiaux que cette situation induit. Car chacun dans l’entourage et dans la fratrie joue un rôle (et semble prisonnier de son rôle) en fonction de ce qu’il est, de ce qu’il a vécu, de ses propres traumatismes et, concernant les frères et sœurs, de sa place dans l’affect parental. Confronté aux maladies mentale et physiologique de nos parents, pas un de nous n’éprouve les mêmes sentiments, ne ressent les mêmes émotions et ne raisonne de la même façon.
Je peux ainsi affirmer aujourd’hui, à la lumière de ce double drame humain, que les enfants et les petits-enfants d’une famille n’ont pas les mêmes parents ni grands-parents. La maladie de mes parents révèle de façon exacerbée la nature du rapport qu’ils ont entretenu avec leurs descendants et leur entourage, y compris les idéologies qu’ils ont cultivées (voire imposées). Si la maladie mentale revêt un statut à part, je sais néanmoins que la haine et le narcissisme exprimés aujourd’hui par ma mère affleuraient déjà dans son comportement (sur ce blog, conférer le billet « Dame Suzeraine » copié-collé du réel). De même, le vieil homme malade, mais debout, en rémission sinon en guérison, accepte comme un dû le dévouement sacrificiel d’une de ses filles – pas moi mais ma sœur, conséquence logique de leur complicité d’avant…
Malgré cela – ces tragédies humaines qui nous confrontent de plein fouet avec la mort, la maladie, la souffrance, le mal-être existentiel – il faut vivre et travailler, et je suis plongée dans les re-re-re-lectures d’épreuves de textes qui vont incessamment voir le jour… la maison d’édition est quasiment bâtie… le site est sur le point d’apparaître sur la toile… Mais je vous reparlerai de tout cela dans les prochains jours.
Malgré cela, j'accepte une danse et une coupe pour célébrer, même tardivement l'an neuf !!
14:50 Écrit par Claudine | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : littérature, société, psy, etc. | Facebook | | Imprimer | |