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27 février 2017

C'est de la pure, c'est de la blanche... idéologie éditoriale actuelle

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J’ai acheté et lu La septième fonction du langage, de Laurent Binet chez Grasset, sur la foi d’une critique louangeuse de Busnel dans LGL, qui a titillé la curiosité de l’étudiante en linguistique que j’étais dans les années 70. J’ai certainement dilapidé 22 € quand j’aurais pu, avec un peu de patience, satisfaire ma curiosité en dégotant ce bouquin chez un soldeur ou chez Emmaüs pour une bouchée de pain.

Ce texte pourrait se définir comme un exercice d’atelier d’écriture dont la contrainte résiderait dans la transformation de vrais intellos de l’époque en personnages de fiction, se vautrant dans le stupre et d’obscures spéculations linguistiques. Autre consigne : des phrases au présent, jetées comme des indications de scénario, en une succession de courts paragraphes : « Foucault débarque (…) Foucault demande des nouvelles(…) Foucault prend Derrida à part (…) Foucault dit qu’il n’aurait pas fait une chose pareille (…) »

L’astuce du siècle consiste à injecter au goutte-à-goutte un certain suspens ‒ absolument indispensable pour faire passer les bourratives digressions : un mystérieux document disparait, dont veulent s’emparer un espion bulgare avec son pébroque, deux moustachus à la Dupondt et les membres de la secte des coupeurs de doigts, le Logos club, où sont organisées des joutes verbales dont les perdants sont amputés !

L’auteur se marrait peut-être en échafaudant son petit scénario à la Tintin, mais la caricature et la dérision, ça va un moment ‒  dans une BD peut-être mais pas en littérature ‒ tout ça pour découvrir à la fin que si Mitterrand (ben, l’homme du secret, pardi !) a été élu en 81 et réélu, c’est qu’il était en possession du fameux document-mystère ! Et vous savez quoi ? Il s’agit de la septième fonction du langage, qui n’est autre que la technique de la manipulation verbale…

Je vous laisse digérer cette trouvaille.

J’avoue que j’ai failli abandonner la lecture de cette œuvre géniale sélectionnée pour le Goncourt,  après cet extrait, page 439 : « Le sophiste au bec de médecin cale les couilles de Sollers entre les deux lames du sécateur, empoigne fermement les poignées, à deux mains, actionne le mouvement de cisaille. Et coupe.

Kristeva tressaille.

Sollers émet un bruit inconnu, un claquement de gorge suivi d’un long miaulement qui ricoche sur les toiles de maîtres et se répand dans toute la salle.

Le sophiste au bec de médecin ramasse les deux couilles et les dépose dans la seconde urne dont Simon et Bayard comprennent alors qu’elle a été prévue à cet effet.

Simon livide, demande à son voisin : « C’est pas un doigt, le tarif, normalement ? »

L’homme lui répond que c’est un doigt quand on défie un jouteur d’un rang juste au-dessus, mais Sollers a voulu brûler les étapes, il n’avait jamais participé à aucune joute et il a défié directement le Grand Protagoras. « Alors là, c’est plus cher. »

Peut-être Binet envoie-t-il des messages subliminaux… et ça plaît rive gauche.
D'ailleurs, Fabienne Pascaud dans Télérama encense "Un irrésistible thriller": "On aime passionnément"

Et devinez qui est l'auteur ? (source Wikipedia)

"En contact avec Valérie Trierweiler qui lui avait consacré un article dans Paris Match du 16 octobre 2010 où elle le qualifiait de « beau gosse agrégé de lettres », il chronique la campagne présidentielle de François Hollande. Le récit de la campagne, intitulé Rien ne se passe comme prévu sort le . Laurent Binet y indique notamment qu’après avoir été tenté par le vote Mélenchon, il a fini par se laisser convaincre et par soutenir François Hollande dès le premier tour. D'après L'Express du 21 décembre 2012, le livre n'a pas eu le succès escompté et s'est vendu à 23 000 exemplaires seulement.

En 2014, il dément les rumeurs selon lesquelles il aurait aidé Valérie Trierweiler à écrire son pamphlet contre François Hollande Merci pour ce moment5,6.

Il publie La Septième Fonction du langage à la rentrée littéraire 2015, un roman imaginant un complot autour de la mort de Roland Barthes qui reçoit le prix du roman Fnac et le prix Interallié7."

11:15 Écrit par Claudine dans bizarreries, Ce qui ne me plaît pas, Livre, publications | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

21 novembre 2016

les dessins de Van Gogh et le coup éditorial du seuil, suite...

faux tableaux, van gogh, Criminelles,

Tiens, comme c'est bizarre ! Suite du post précédent...

Lu dans Livre Hebdo : "Le musée néerlandais dédié au célèbre peintre impressionniste juge que les dessins publiés par Le Seuil sont des faux."

  Évidemment que c'est un "coup" éditorial !
Je suis toujours extrêmement surprise du déni d'imposture répandu dans la population qui se bouche les yeux comme le vieil homme de Van Gogh.

Idem pour écrivains prétendument auteurs d'un livre par mois... durant trente ans ! Qui peut croire ça ? Alice au pays des merveilles, peut-être ?
La pensée magique, le désir de contes résiste à la logique et au raisonnement ; Finalement, c'est un peu ça que je démontre dans mes "Polycarpe" : mon cher Poly ne peut s'empêcher de dénoncer le déni d’imposture, qui est l'alibi du crime.

* * *

Suite de l'enquête, article trouvé dans Livre hebdo aujourd'hui 7 décembre:

"le musée liste plusieurs points factuels concernant l'encre utilisée, la technique, le style, la provenance et la fiabilité du carnet. Concernant l'encre utilisée, le musée fait par exemple remarquer qu'elle est marron, alors que Van Gogh utilisait surtout une encre noire, mais décolorée avec le temps, ainsi qu'il peut être constaté sur les dessins authentifiés, ce que l'auteur du carnet aurait voulu reproduire en ignorant cette particularité. Le musée relève aussi des erreurs topographiques, s'interroge sur la reconstitution de la chronologie des dessins, et met en doute l'authenticité d'un carnet de notes utilisé pour retracer l'origine des dessins."



 

 

 

 

16 novembre 2016

Vous y croyez, franchement ?

Lu dans Livre Hebdo :

"Au Seuil c'est Bernard Comment, le directeur de la collection "Fiction & Cie (…)  qui a le premier entendu parler de l'existence de dessins inédits de Van Gogh, au début du printemps 2015. Mais, "je n'y croyais pas, admet-il aujourd'hui, car Ambroise Vollard [célèbre marchand d'art et galeriste qui révéla Van Gogh, entre autres, NDLR] avait envoyé beaucoup de monde à Arles pour tout ratisser".

il est bien identifié comme carnet de dessins, mais son origine se perd, en même temps que le nom de l'artiste.

Pendant l'été 2015 cependant, où il se trouve dans le sud de France, l'éditeur déjeune à Aix-en-Provence, grâce à un intermédiaire, avec le commissaire (..)qui représente la propriétaire actuelle des dessins. Après avoir envisagé plusieurs hypothèses – vente, exposition –, ce dernier a choisi de faire d'un livre l'acte de divulgation des œuvres. Le Seuil, qui détient les droits mondiaux du livre qu'il commercialise (mondialement) avec un prix de vente public de 69 euros..."

Affaire Matisse, roman policier


C'est marrant, c'est l'histoire de mon roman policier "Criminelles", à ceci près que j'évoque une toile de de Matisse et qu'il s'agit ici d'un carnet à dessins de Van Gogh...

Il ne se passe pas 6 mois sans qu'on retrouve une œuvre dans le grenier d'une vieille mamie... Et alors se mettent en branle les experts qui sont formels... ben tiens !

10:52 Écrit par Claudine dans bizarreries, contes et légendes, publications | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

17 décembre 2015

Critique d'un booktubeur...

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Vidéo de Jules : cliquez ici

 

 

01 juillet 2015

Drôle d'expérience

société, mode, l'internationale

 

Le monde va changer de base… Déjà, on le pressentait, mais cette fois, c’est avéré.  Le patrimoine immobilier, le patrimoine mobilier, le patrimoine culturel, transmis depuis des générations est déclaré obsolète. Comme dirait l’autre : c’est une rhinocérite à la Ionesco, ça se répand, c’est contagieux, tout le monde est touché… Par quoi commencer ? La maison de famille ? Elle ne vaut plus rien, ou pas grand-chose parce qu’elle n’a pas de doubles cloisons, les tomettes de grès sont complètement has been, les faïences de la cuisine à gerber. Le top du top, c’est no meuble au profit du dressing, des cloisons laquées noires ; le savoir-faire du menuisier d’antan ridiculisé, donnez-moi une hache et votre armoire en merisier, j’en fais de bois de chauffage… Les meubles anciens, sont évalués entre 30 et 70 € par le commissaire-priseur qui précise « sans droit de réserve, si ça ne part pas à cette estimation on peut encore baisser le prix »… [nota : inversement, essayez d’acheter le même meuble chez un antiquaire et vous verrez que la valeur n’est pas une science exacte, mais le résultat d’une certaine collusion entre professionnels]. Inutile de ramener sa fraise avec les objets en argent, en cuivre… pourtant tellement recherchés par les cambrioleurs. Impensable de passer du temps à nettoyer l’argenterie ou la bassine en cuivre dans laquelle votre grand-mère fabriquait la limonade… Allez ouste, c’est bon pour les vide-greniers (tiens ! mais au fait, qui achète cela une bouchée de pain ? des philanthropes, évidemment). Ne proposez pas les jolies nappes brodées à vos filles, elles ricanent. Quant aux livres, ça ne vaut rien, la collection des Balzac ? Un directeur de médiathèque m’explique que ça prend trop de place : Balzac ? Faut compter un mètre de rayonnage et ça ne sort jamais ! Du passé faisons table rase

Le monde va changer de base […] du passé faisons table rase… Ce sont les paroles de l’Internationale… En fin de compte, les trotskystes sont exaucés…

09:30 Écrit par Claudine dans bizarreries, Ce qui ne me plaît pas, discussion, traditions, folkore | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

12 février 2015

De l’autre côté du miroir

fiction et réel, miroir, traversée des apparences, polycarpe

Immergée dans la fiction profonde pour quelques mois, j’habite le vieux logis, j’ai  retrouvé  Polycarpe, Basile, Bérangère, Flora… et les autres ; je suis concentrée, c’est le début d’un long cheminement qui me conduira jusqu’à l’été.

12:07 Écrit par Claudine dans bizarreries, littérature, publications, roman policier | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

17 novembre 2014

Les Petits Secrets de "POLYCARPE" (4)

synchronicités, Polycarpe, Jung, hasard et nécessités

La série des Polycarpe n’est pas une création ex-nihilo ; son invention est due à la convergence d’expériences et d’épreuves dans mon existence, de coïncidences, de hasards ‒ j’irais jusqu’à parler de « synchronicités » ‒ constituant une sorte de biotope propice à l’éclosion et à la métamorphose d’une œuvre. Comme tout être vivant, une œuvre est le résultat du « hasard et de la nécessité », selon l’expression du biologiste Jacques Monod.

L’expérience initiale, qui a été l’étincelle de ma tardive « carrière » d’auteur, mérite d’être rappelée ici. Certains connaissent déjà cette histoire, mais ceux qui ne l’ont jamais entendue seront probablement surpris.

Durant nos vacances 1978, nous fuyons la Costa Brava, bondée et polluée, et traversons l’Ariège. Subjugués par la beauté du Couserans, site montagnard des Pyrénées, nous acquérons alors, pour une bouchée de pain, une grange à foin dépendant du hameau d’Estouéou-d’aut, dans la montagne. Les années passent. Nous retournons là-bas plusieurs étés.

Un jour de septembre 1994, je cherche chez mon libraire un roman policier de la série du Poulpe[1] alors à la mode et je tombe sur un des rares ouvrages de la série en rayon : « Le Pis rennais » de Pascal Dessaint. Le jeu de mot dans le titre et le quatrième de couverture attirent mon attention : le récit se passe dans la vallée du Couserans !

Or, je découvre en le lisant que l’action se déroule dans les parages de notre grange, laquelle sert de décor très précis à l’ultime scène de crime et à son dénouement. Moi qui entassais les manuscrits non publiés dans mes tiroirs depuis des années, j’y vois un signe du destin, une chance à saisir. J’écris à l’auteur, Toulousain d’adoption, qui me répond et m’explique qu’il pratique la randonnée dans cet endroit qui le fascine et me conseille de tenter ma chance dans cette série du Poulpe.

Alors que ces petits polars étaient écrits par des auteurs déjà réputés dans le milieu et qui se connaissaient entre eux, je saisis l’opportunité.

J’ai éprouvé une vraie satisfaction à écrire en deux mois et demi « Un petit lapsus très suspect » qui sera finalement sélectionné par l’éditeur (la Baleine-le Seuil)… mais quatre ans plus tard !  (Entre temps, l’éditeur avait déposé le bilan, puis rebondi).

Le 12 avril 2001, j’ai reçu le coup de fil du nouveau directeur me proposant la publication ; j’imagine que si j’avais déménagé, je ne l’aurais jamais su.

Le livre fut publié début 2002 et connut un vrai petit succès, vendu à près de 4000 exemplaires.

Mais il s’est produit une deuxième coïncidence et non des moindres, que je dois raconter avant de revenir à Polycarpe.

Je reviens sur les manuscrits entassés dans mes tiroirs…

J’avais écrit des romans, pendant et après mes études de lettres, et notamment « Mosaïque » qui avait attiré l’attention de Jérôme Lindon, directeur des éditions de Minuit (et président du syndicat des éditeurs). Je l’ai rencontré deux fois. Au cours du premier rendez-vous, il m’a fait beaucoup de compliments et m’a demandé de faire quelques modifications dans mon manuscrit. Les corrections faites, il m’a convoqué, satisfait, m’expliquant qu’on allait discuter d’un contrat d’édition.

Evidemment, à 25 ans, être publiée aux éditions de Minuit, qui réunissaient mes idoles littéraires de l’époque, c’était le rêve.

Le rêve a explosé en vol quand Lindon m’a fait part des réticences de son ami Robbe-Grillet, alors directeur du comité de lecture, à publier mon roman qui nécessiterait-  je cite : « trop de moyens financiers pour promouvoir un auteur inconnu dont on ignorait s’il persévèrerait ».

J’ai toujours pensé que le cénacle des écrivains de Minuit ne désirait pas introduire une petite nouvelle dans la bergerie, provinciale un peu niaise, j’avais en outre ouvert une brèche dans l’idéologie du « nouveau roman » en réintroduisant des personnages et une « histoire » que leur théorie qualifiait d’éléments « bourgeois » et voulait supprimer .

« Vous reviendrez me voir, quand vous aurez une œuvre derrière vous » m’a déclaré Lindon, après deux heures de rendez-vous au cours desquelles il a détruit toutes mes illusions. Je ne cessais de le fixer sans ciller, comme hypnotisée par son visage de rapace.

Je suis rentrée en métro, ravalant mes larmes, mon manuscrit sous le bras.

Une femme debout sur le quai, station Saint-Michel, me fixait d’un regard terrible, j’avais l’impression en avançant qu’elle était illuminée par des projecteurs et je ne voyais qu’elle, sans comprendre pourquoi… et soudain, j’ai reconnu Simone de Beauvoir, coiffée de son turban.

De stupeur, j’ai laissé tomber mon manuscrit, je ramassai les feuilles dispersées et quand je me relevai, elle était partie.

Encore une fois, les années ont passé.

Et pour revenir à ce jeudi 12 avril 2001, une heure après que l’éditeur du Poulpe m’eut proposé de me publier, j’entends aux infos de 13 heures que Jérôme Lindon venait de mourir. Comme si son décès avait déverrouillé ma vocation.

La synchronicité de ces évènements reste pour moi à la fois mystérieuse et significative.

Il y a eu, au cours de l’écriture des « Polycarpe », d’autres synchronicités moins spectaculaires, dans le choix des noms, dans l’invention de lieux… mais je crois que la créativité artistique relève peu ou prou de la médiumnité…  


[1] « Le Poulpe » est une collection de romans policiers publiée aux éditions Baleine, inaugurée en 1995 avec La petite écuyère a cafté de Jean-Bernard Pouy, également directeur de collection originel. Bien que chacun des épisodes soit écrit par un auteur différent, on y suit les aventures d'un même personnage, Gabriel Lecouvreur, un détective surnommé « Le Poulpe ». La collection a été adaptée au cinéma en 1998 (Le Poulpe, le film),

12:46 Écrit par Claudine dans art, bizarreries, idiomes, langages, insolite, langue, langage, littérature, publications | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

11 juillet 2014

"Théorie de la vilaine petite fille" d'Hubert Haddad

 

Un roman dont on se délecte du style.

hubert Haddad, nouvelle fiction, style, vocabulaire

Il m'est arrivé deux fois seulement de relire un livre en boucle, en reprenant au début dans la foulée, juste pour le plaisir du style, pour m'imprégner des tournures de phrases, des évocations, pour comprendre comment Haddad écrit et nous immerge dans une époque, nous emporte comme un bagage dans le temps et l'espace... et en m'obligeant à noter tous les mots inconnus de moi ou employés sous des formes adjectives ou substantives que je n'avais encore jamais rencontrées.

L'autre livre, c'était "Belle du Seigneur".

J'ai établi la liste de ces mots rares et leurs définitions que je poste sur une page de mon blog en haut à droite...

05 mai 2014

COSY MYSTERY

cosy mystery, ebook; francophonie

Et voilà, it’s done, tous mes e-romans en ligne all over the world !

C’est du boulot, mais c’est top : ne plus être tributaire du manichéisme éditorial franchouillard : je suis abasourdie, je viens de découvrir que le« genre » de mes romans est répertorié partout ailleurs qu’en France ou je suis condamnée, conférence après conférence, à expliquer que mes romans policiers ne sont pas des « polars » saignants, qu'il n'y a ni flics, ni experts.

Sachez, tout le monde, que j’écris des « cosy mysteries ». C’est pas mignon, ça ? Ainsi, dans la francophonie, avec KOBO, Amazon, Apple, Google, et les autres… je vends des romans policiers cosy.

C'est trop cool.

 

23:18 Écrit par Claudine dans art, bizarreries, copyright, littérature, Livre, Loisirs, publications, roman policier | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

17 avril 2014

e-book ou papier? that's the bad question...

Dans les deux cas, the bad answer.

e-book, livre papier, liseuse, epubPerso, j'aime les deux, et vous?

 

 

 

Inutile de s'étriper sur ce sujet...

C'est comme le réchauffement de la planète, la gauche et la droite, les chrétiens et les musulmans... c'est toujours le besoin d'avoir raison, une histoire de cerveau reptilien, de pouvoir... y a jamais quelqu'un qui a tort et l'autre qui a raison...

On ne vit  pas dans un western !

11 avril 2013

POLYCARPE, L'INSOLENT.

"(...) quelque chose nous dit qu'ils seront nombreux, nos contemporains, à vouloir fêterl'excellent Polycarpe, le 27 avril prochain, pour se consoler de la morosité des temps." Etienne de Montety (Le figaro littéraire du 11 avril 2013)

Edito Le Figaro, Polycarpe

15:40 Écrit par Claudine dans bizarreries, insolite, littérature, Livre, publications, roman policier | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

25 août 2012

COUVERTURE d'AMOURANTE BULLE

 

Le dessin, réalisé par l'auteur, c'est à dire moi :-) de la couverture d'AMOURANTE BULLE, conte poétique que je dédicacerai demain à la FORÊT des LIVRES*

 

couverture, livre, édition, amour, baiser

couverture Amourante Bulle.jpg

 

*Le programme des la Forêt des Livres organisée par Gonzague Saint-Bris :
ICI
(http://www.laforetdeslivres.com/)

 

15 mai 2012

Président « normal »... Attention : danger ! Le mot est suspect.

 normalité, folie, totalitarismeOn n’entend plus que cela sur les ondes, depuis les élections du Président de la République. Et je m’étonne qu’aucun journaliste ne tique ! Je suis d’une génération qui, dans le sillage de Foucault, a remis en cause la notion de « folie » qui désignait trop facilement les individus différents, artistes, homosexuels, etc. Je suis d’une génération qui a appris grâce à Soljenitsyne que les Goulags étaient remplis de gens taxés de dérangements psychiatriques parce qu’ils étaient lucides et contestaient la normalité dominante...

Jamais nous ne nous serions autorisés à qualifier une personne de normale parce qu’en creux, cela révèle la folie de l’autre.

Cette nouvelle mode du « normal », c’est plus que louche. Vous ne trouvez pas ? C’est, au minimum, une injure qui ne s’assume pas.

Je pourrais reproduire ici de belles citations piochées sur Wikipédia, mais je me contente de dire ici ma trouille que nous nous retrouvions cernés par des gens brandissant ce critère totalitaire de la normalité...

Je suis consternée de voir les contestataires de naguère brandir cette idéologie de l’homme normal... S’en vanter, l’ériger en valeur que relaye les médias...

J’espère que vous êtes comme moi, indignée !

09:58 Écrit par Claudine dans bizarreries, Blog, langue, langage, sens des mots | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook | |  Imprimer | |

21 avril 2012

Le Post de REMI SHULZ* sur mes POLYCARPE et MON POULPE

*Si vous ne le connaissez pas encore, Rémi SCHULZ est (je le cite) :  "Ecrivain, amateur de bizarreries en tout genre, surtout numériques, surtout concernant le nombre d'or ou la quaternité"...
 
Pour connaître mieux l'auteur de Sous les Pans du Bizarre, 2000, La Baleine-Le Seuil, publié par notre éditeur commun Antoine de Kerverseau, ami de POUY et de quelques fondus de coïncidences, comme George PEREC, c'est ici, puis ici, et encore ici...
 
Arrimez vos neurones... !

Ecole L
à Claudine N
 
"Les rebondissements divers des deux derniers mois ont ajourné une affaire non moins digne d'intérêt, mais ce retard s'avère finalement enrichissant. Le 1er février, j'ai reçu un mèl de Claudine Chollet, laquelle avait récemment trouvé mon site en faisant des recherches sur Perec. Ceci l'avait menée à ma page La Baleine d'or, où j'explorais comment, sans aucun calcul délibéré des responsables de la principale collection de poche Baleine, le nombre de Poulpes y avait été avec une remarquable constance en rapport d'or avec le nombre d'autres titres dans la collection. Claudine avait publié le 141e Poulpe en 2001, Un petit lapsus très suspect, numéro 228 dans la collection. Elle put vérifier que 228/141 = 1.617... meilleure approximation du nombre d'or à ce niveau. Claudine a créé par ailleurs un héros récurrent, le vétérinaire retraité Polycarpe, dont 5 enquêtes ont été publiées à ce jour. La 4e est parue en juillet 2008, Le Nombre d'Or, et Claudine m'a assuré qu'elle avait imaginé cette enquête faisant intervenir au premier plan le nombre d'or sans la moindre connaissance de mes élucubrations diverses. Nul besoin de sa parole pour deux autres coïncidences, d'abord le 4e de la série, puisque je n'ai créé Quaternité que deux mois plus tard. C'est encore dans ce seul volume de la série qu'apparaît le nom de Jung... Je reviendrai sur le roman plus loin, tant la première coïncidence Baleine est riche. C'est donc Perec qui a mené Claudine à mes pages, et à calculer le rapport 228/141 qui se simplifie en 76/47, soit les valeurs de GEORGES/PEREC. C'est Perec qui m'avait mené à découvrir la curiosité dorée de la collection Baleine, par son n° 89 qui était aussi le 55e Poulpe, La disparition de Perek, de Hervé Le Tellier. 55 et 89 sont deux nombres de Fibonacci, suivis par leur somme 144 qui correspond à CLAUDINE+CHOLLET (69+75). C'est une allusion plutôt dépréciative qui est faite à Jung dans Le Nombre d'Or. La compagne de Polycarpe, Imogène, est férue de psychanalyse, mais elle délaisse Jung, trop sulfureux, au profit de Freud et Lacan. Or SIGMUND/FREUD = 87/54 est un nom doré, et la série additive 54-87-... se poursuit par 141-228, les nombres du Poulpe de Claudine. Il est presque universellement admis que deux grands esprits ont révolutionné le monde au début du 20e siècle, l'un dans le domaine de l'esprit, Freud, l'autre dans celui de la matière, Einstein. Presque, car certains tentent de démontrer à grands cris (Onfray par exemple) qu'ils se seraient appropriés des découvertes préexistantes. Tous deux d'origine juive, ils ont dû quitter Berlin et Vienne à l'avènement du nazisme. Un autre point commun est bien moins connu, celui d'avoir un nom doré, car EINSTEIN/ALBERT = 95/58. Une nouvelle coïncidence avec Claudine est qu'un élément important de son Nombre d'Or est un ULM, présent en couverture, or Einstein est natif d'Ulm... Le rapport est ici nom/prénom, ce qui permet d'imaginer un Albert Freud = 112, subordonné à un Sigmund Einstein = 182. La moyenne entre les deux serait 56/91, correspondant à Marina Sloty et à son insolite aventure, se simplifiant en le rapport 8/13 aux multiples avatars. Ceci m'amène à un dernier écho, magnifiant le retard pris à parler du Nombre d'Or de Claudine. J'ai intitulé le dernier billet d'un palindrome phonétique, La mode Daumal. Les syllabes LA-MO m'ont fait songer à Boris Lamot, créateur et animateur de la liste 813, à laquelle j'ai participé tant que j'étais membre de l'association 813. Depuis plus de 20 ans que je manipule les nombres et les lettres, certains processus sont devenus quasi immédiats, et il m'est venu l'idée d'une dédicace FOR BORIS = 39+63 = 3(13+21), Daumal semblant avoir privilégié le couple Fibo 21-13. La somme 102 était encore celle de LA MODE DAUMAL = 13+37+52 = 102 J'avais un vague souvenir que ce Boris était impliqué dans une coïncidence dorée Baleine, et c'est effectivement le dernier cas étudié sur ma page La Baleine d'or, avec le Baleine n° 231 qui est aussi le Poulpe 143, Boris au pays vermeil, de Darnaudet. 231/143 se simplifie en 21/13, les Fibos favoris de Daumal. Je remarquais dans le billet précédent que les lettres U-M de rangs 21-13 formaient le centre de daUMal, et on les trouve aussi dans l'ULM (Ultra-léger Motorisé) en couverture du Nombre d'Or. Le roman couvre 13 jours d'avril centrés sur l'énigme de ce qui s'est passé le 21. Et un Professeur Mumu apparaît dans La Grande Beuverie... Mon palindrome La mode Daumal était inspiré par le Père Sogol-Logos du Mont Analogue, mais il se pourrait que Daumal ait été bien plus tôt un adepte du palindrome, et que sa première création littéraire, le Grand Jeu, en soit la manifestation. Laurent m'a signalé que, dans La Grande Beuverie (1938), un alter ego de Daumal se nomme Aham Egomet, soit "je" en sanskrit et "moi-même" en latin. Un brin égocentrique pourrait-on penser, mais en sanskrit le mot ahám est extrêmement symbolique, car il peut s'écrire avec les première et dernière lettres de l'alphabet, A et Ha, अ et ह, représentant Śiva et Śakti, les principes masculin et féminin. Ils s'unissent en AHam,अहं, où le bindu ou point indiquant la nasalisation de Ha en Ham représente l'union des deux principes. ahám peut encore s'écrire en 3 lettres, अहम् , soit l'envers du mot महा , mahā, "suprême", "grand", ce qui peut aisément amener à penser que, au moins pour Daumal, le Grand Jeu était une transposition du Suprême Je de la mystique hindoue. J'indiquais dans le billet précédent avoir lu sur le document de Daumal le mot hina, soit l'antonyme de mahā. J'ai depuis regardé plus attentivement et le réel mot sanskrit est हीन , hīna, alors que Daumal a plutôt écrit हिङ् , hiṅ, qui ne semble pas avoir de sens, mais mes capacités en sanskrit se bornent à identifier à peu près les lettres... La remémoration du "jeu" maha aham m'incite à renverser hina, obtenant ainsi quelque chose qui ressemble à ani, "je" en hébreu... Il existe en hébreu aussi des spéculations sur les mots formés avec la première et la dernière lettre de l'alphabet, alef-taw, notamment le mot at, "tu", "toi"... En arabe ou araméen c'est ana qui signifie "je", d'où de possibles questions sur les "analogies" daumaliennes (du grec analogos, "proportionné"). Je sens qu'il faudra développer cela, mais peut-être est-il temps de cesser cette digression et de revenir aux Polycarpe. Nous au village aussi l'on a de beaux assassinats pourrait s'appliquer à cette série, campée dans un village de Touraine. Au classique Kilafé ? (Whodunit ?), car il y a un beau petit crime dans chaque épisode, s'ajoute une peinture des problèmes relationnels au sein de cette petite communauté, servie par un style alerte. Le roman n'est pas intitulé pour rien Le Nombre d'Or, et Polycarpe y enquête sur une bizarre secte d'Orphistes, qui ont choisi ce nom parce qu'on y trouve "or" et "phi", le symbole du nombre d'or. Ils se réunissent les nuits de pleine lune près de Rochebourg, car divers lieux sacrés des alentours dessinent un pentagone centré sur le château du village... Ces pleines lunes ont attiré mon attention, car deux dates sont données, celle du 20 mars, puis de nouveaux phénomènes se produisent dans la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 avril. Si la pleine lune de mars était bien le 20, alors ce n'est pas la lune vernale, laquelle doit être au minimum le 21, et donc la lune décidant de la date de Pâques sera la suivante, vers le 18-19 avril, et Pâques tombera le 22 avril. Précisément, c'est la nuit du 20 au 21 avril, suivant alors le Vendredi saint, qu'il se produit un événement mystérieux. Un sauveur doit venir du ciel pour emmener la petite Marion malheureuse chez sa mère divorcée maquée avec un orphiste; c'est son père Charlie qui a emprunté un ULM, mais il a aussi un peu trop bu et il atterrit dans un chêne à côté de la maison de Polycarpe. Le lendemain on trouve l'appareil accidenté, mais nulle trace du pilote, sinon un tissu ensanglanté portant la lettre grecque phi... Marion disparaît deux jours plus tard. Charlie, Marion, Christ, Marie ? Le tombeau retrouvé vide avec seulement le suaire du Christ ? Je ne voyais pas de schéma pascal clair dans cette histoire, d'autant que les dates ne collaient pas avec l'année 2007 où le 22 avril était bien un dimanche, mais suivant une nuit sans lune... De fait quelques courriers échangés avec Claudine clarifièrent l'affaire, elle n'avait pas du tout songé à Pâques, et pris sur le calendrier de 2008 les dates des pleines lunes. Il fallait donc oublier cette possibilité de trouver réunies deux de mes principales obsessions, Pâques et le nombre d'or... ...Oublier pour ce roman, mais l'implication de Claudine dans les coïncidences dorées Baleine m'a aidé à me rappeler autre chose. Bien que j'aie trouvé on ne peut plus louable l'idée de JiBé Pouy de permettre à tout un chacun de publier un Poulpe, les résultats ne m'ont pas semblé des plus convaincants, même pour les Poulpes d'auteurs "confirmés", aussi n'ai-je lu que peu de Poulpes, essentiellement ceux que le hasard a fait passer entre mes mains. C'est ainsi que lors de la parution de mon Gondol, en octobre 2000, j'ai reçu avec mes exemplaires d'auteur les autres parutions Baleine du mois, dont le n° 205 et 127e Poulpe, A Freud ! sales et méchants, de Pierre Magne. C'est l'histoire de la vengeance d'Albert Mansard, qui 15 ans plus tôt a subi avec sa compagne divers outrages sur un cargo. Ils ont ensuite été jetés à la mer, jugés morts, mais lui a survécu. Selon un journal du 14 avril 1982, l'incident a eu lieu le dimanche précédent, soit le 11 qui était un dimanche de Pâques. Je n'ai pas cherché à contacter l'auteur, étant à peu près certain que cette date était accidentelle. La situation me semblait fort proche d'un roman déjà pour moi emblématique, Le Triangle d'or de Leblanc (1917), où Armand Belval et sa compagne sont assassinés par Essarès le 14 avril 1895, mais Belval "ressuscite" le soir de ce dimanche de Pâques, et ourdit une revanche qui est près d'échouer 20 ans après lorsqu'il est tué pour de bon par Essarès, qui lui emprunte son identité, le 4 avril 1915, un autre dimanche de Pâques. En 2000 je n'étais sensibilisé ni au nombre d'or, ni au 4/4 jungien. Albert a 4 personnes à tuer, dont un Armand. Le rapport 205/Phi arrondi au plus proche entier donne bien 127, et il y a une remarquable autre possibilité. J'indiquais sur ma page Baleine qu'il y avait deux numéros de la collection avec un statut particulier, le n° 99, ou 63e Poulpe, dont l'auteur a refusé d'être distribué par le Seuil lorsque la grande édition a pris le contrôle de Baleine, et le n° 186, non vendu. En ne tenant compte que du catalogue du Seuil, le Poulpe de Magne devient le 126e, qui rapporté aux 78 non-Poulpes de la collection livre 126/78 = 21/13. Le "rapport de Daumal", et Magne peut renvoyer au Grand JE avec le lien étymologique maha/magnus. J'avais vu plus haut le lien des numéros 228/141 du Poulpe de Claudine avec Sigmund/Freud = 87/54 apparaissant dans le titre de Magne, et je suis fasciné par les nombres obtenus en écartant les deux Baleine non vendus par le Seuil, soit 226/140. Ce sont des nombres de la Série Bleue du Modulor, emblématiques car l'outil Modulor est un ruban de 226 cm de long, 226 cm supposés correspondre à un homme levant le bras, homme qui pourrait être Le Corbusier (cité par Polycarpe), dont le nom réel était Charles-Edouard Jeanneret = 226. J'ai évoqué à plusieurs reprises Le Triangle d'or, dernièrement ici, et ma fascination devant l'échange du 4 avril entre Belval et Essarès, avec les valeurs de la Série Bleue : BELVAL = 54 ESSARES = 86 TRIANGLE + D'OR (LE) = 86 + 54 = 140 Je remarque encore les équivalences en pouces de 140/86 cm, 55/34, ce qui correspond au Poulpe qui me fit découvrir l'harmonie dorée de la série, le 55e, La disparition de Perek. J'ai lu les 4 premiers Polycarpe, sur lesquels il y aurait bien plus à dire, mais je ne pouvais omettre que la première date mentionnée dans la série est un 4 avril, le mardi 4 avril 1974 jour de parution d'un journal relatant la démission du juge Léon Corbeau, le précédent propriétaire du vieux logis acquis par Polycarpe à Rochebourg. Claudine sait de quoi elle parle puisqu'elle habite elle-même une vieille maison dans un village de Touraine, achevée de bâtir en 1877 par Charles Guinot. Après avoir envisagé Charlie descendu du ciel comme un dieu grec, theos, je me suis demandé si ce Charles Guinot n'aurait pas commencé sa maison en 1875, l'année de naissance de Jung dont les initiales CJ m'ont fait penser à un antichrist, car son nom est l'exacte anagramme de CARL IUNG THEOS (Jung a parfois utilisé la forme Iung, par exemple dans l'anagramme signant les Sept sermons aux morts, ou dans les initiales CIER ornant la girouette de la maison de Küsnacht construite pour lui et sa femme Emma Rauschenbach.) Deux jours après avoir découvert la date du 4/4/74 dans Le vieux logis, je vis en différé le téléfilm Un Meurtre en sommeil, diffusé le 17 février sur France 2. On y voit la carte d'identité d'une jeune fille, Sacha Poliakov, déclarée née le 4/4/14. La moyenne entre 4/4/74 et 4/4/14 est évidemment le 4/4/44... J'ai commencé ce texte il y a quelques jours en envisageant de le terminer le 14/4 et de le publier ce jour, en hommage à la valeur 144 du nom Claudine Chollet, sans savoir encore à quel point les 14 avril seraient concernés (car n'ayant pas encore regardé ce que j'avais écrit sur A Freud ! sales et méchants). Les Orphistes ont un jour de Grand Pélerinage, le 5 août, parce que 5-8 sont des nombres de Fibonacci. Pour ma part j'aurais plutôt choisi le 13-8, surtout sachant que les 8/13es de l'année tombent aux 8/13es du 8/13 (le 13 août à l'anglaise). Cette relation m'a tant enthousiasmé que j'ai cherché d'autres possibilités, un peu moins ambitieuses, et la seule que j'ai trouvée est le 4/14, le 14 avril à l'anglaise, qui tombe aux 4/14es des 366 jours d'une année bissextile. 366 est le nombre suivant de la Série Bleue, après 140-226. Le 13 août est le 226e jour d'une année bissextile, dont il est toujours aux 8/13es, moins parfaitement bien sûr. Bref j'envisageais de publier ce billet à 13:21, en hommage aux multiples 13-21 rencontrés, mais j'ai choisi de le retarder de 21 minutes, car les 4/14es de 2012 tombent ce 4/14 à 13:42." 

Rémi Schulz

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