27 septembre 2016
Papier ou numérique ?
Livre papier ou livre numérique, ça se discute pas, ça coexiste, ça répond à des attentes différentes.
Mais de mon point de vue de romancière rétive (à la chaîne du livre qui enchaîne l’auteur), le numérique c’est la LIBERTÉ ! Une super putain de liberté !
L’écrivain de talent qui n’a pas la carte de journaliste, pas de parent dans l’édition ou dans la politique, c’est cuit pour lui… enfin, c’était, au grand dam d’Editor qui n’a plus le pouvoir totalitaire de fabriquer sa Créature, de la manipuler et de la lobotomiser.
Ce petit coup de patte au passage, juste pour le plaisir, juste pour dire que tous mes livres, refusés par les putains de distributeurs et les putains de libraires (exception : Cultura qui les a référencés) se vendent comme des petits pains sur les sites en ligne au prix maxi de 6,99 €… principalement sur Amazon et Kobo en e-pub...
18:13 Écrit par Claudine dans e-book, littérature, Livre, publications, roman policier | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer | |
19 septembre 2016
"Polycarpe, La Parenté des Hannetons" (vol.7)
Le septième Polycarpe, encore sous presse, va sortir ces jours-ci en format papier ; d'ores et déjà disponible en e-book depuis hier soir sur un site bien connu et… déjà des exemplaires vendus ! Super !
Pour les amis de Polycarpe, quelques indiscrétions…
L’épigraphe :
Dans la frange impolie du XVIIe siècle,
parmi les bateleurs du Pont-Neuf,
on parlait de la parenté des hannetons,
pour "des gens qui commettent adultère
ou inceste : gens qui couchent ensemble
et se disent parents"
Claude Duneton
Au plaisir des mots,
Denoël, 2005
Le quatrième de couve :
En réglant le billet de train d’une pauvre femme attifée comme une clocharde, envers laquelle il éprouve une empathie instinctive, Polycarpe est loin de se douter des conséquences de cet acte de générosité. La disparition de la femme du train et la mort prétendument accidentelle de son frère intriguent Polycarpe qui mène sa septième enquête.
Avec Imogène, toujours férue de psychanalyse et qui sait décrypter les « synchronicités » mises en évidence par Jung, révélatrices de non-dit et d’oubli, ils exhumeront les terribles secrets d’une famille unie au-dessus de tout soupçon.
Ce nouveau « psycho polar » polycarpien contient tous les ingrédients du roman policier cosy : l’ambiance, les petites habitudes villageoises, l’humour, le sentiment de vivre aux côtés des personnages comme dans la vraie vie et, pour la plus grande satisfaction du lecteur, le triomphe du Bien sur le Mal.
Je le dédicacerai à POLAR SUR LOIRE le 5 novembre !
16:00 Écrit par Claudine dans les petits secrets de Polycarpe, littérature, publications, roman policier | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer | |